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ISTANBUL


Au pied du Bosphore, la belle Istanbul contemple d’un côté l’orient de l’autre l’occident. Ici finit l’Europe et commence l’Asie. A la croisée des cultures et des continents, Istanbul est une ville cosmopolite, magique et envoutante. Cyril Laugier y a passé 3 ans et écrit une page de sa vie qu’il a ensuite emporté avec lui en Bourgogne. Aujourd’hui la capitale turque continue de l’inspirer.

Les couleurs, les odeurs, les sourires et la générosité des gens. Istanbul c’est tout ça à la fois. Ville aux mille et un visages, théâtre de l’histoire, elle a traversé les siècles. D’abord Byzance aux mains des Grecs, puis Constantinople dans celles des Romains, elle affiche un passé riche et glorieux. Bâtie sur sept collines, à l’image de l’antique Rome avec qui elle a croisé l’histoire, Istanbul fourmille de minarets et de bazars, on se perd dans un dédale de ruelles et croise dans chacune d’elle les sourires d’une population chaleureuse. Ici Cyril Laugier a noircit quelques pages de son histoire personnelle. Chef dans un des quartiers de la Corne d’Or, il a tenu pendant 3 ans les cuisines d’un bistrot français renommé. Autrefois délaissé, la Corne d’Or connait depuis quelques années une réhabilitation exceptionnelle. Là, sur les berges du Bosphore, comme ailleurs dans Istanbul, les trésors architecturaux du passé toisent les enseignes commerciales et les bâtiments modernes. Ville de contrastes, Istanbul a profondément marqué le couple Laugier. De la capitale turque Cyril a ramené le Sumac, cette épice rouge acidulée qu’il travaille aujourd’hui avec de l’agneau ou en marinade avec du yaourt toujours pour accompagner des viandes. Valérie elle a ramené dans son cœur la gentillesse sincère des gens, les sourires et la richesse culturelle.

Depuis leur retour et leur installation en Bourgogne, Istanbul la Magnifique fait toujours vibrer Cyril et Valérie. Quelque part dans leurs cœurs, les images de cette période magique sont encore bien présentes. Pour en perpétuer le souvenir la cuisine du Chef a intégré le parfum citronné du Sumac et un jour peut-être le couple y déposera à nouveau ses bagages …


LES POTIERS DE SAINT AMOUR


De leurs mains d’argiles naissent des objets aux courbes fluides et épurées, assiettes, tasses, coupes. Lola et Mathias, potiers à Saint-Amour, travaillent la terre avec une passion indicible, la même que celle qui anime Valérie et Cyril à l’Auberge du Paradis. Situés l’un en face de l’autre, la rencontre de la table et de l’art de la table sonnait comme une évidence.

Le geste est sûr, les couleurs franches. Sur le tour, l’argile s’anime et prend vie sous les mains expertes des potiers de Saint Amour. D’un bloc de terre nait un service à vaisselle. Bols et assiettes se forment progressivement comme issus du néant. Le four en fige les formes, les couleurs les habillent. Blanc, noir, bleu roi, rouge carmin, turquoise, anis, caramel. Les finitions sont soignées, sublimant les courbes et fixant les teintes. Magiciens et créateurs de talent, Lola et Mathias abritent leur production dans une belle maison de pierre. Ici les potiers aux mains d’or ont trouvé leur refuge. Entre les statues et les plantes verdoyantes du jardin se cachent des volières en fer forgé habitées par des oiseaux de terre cuite. Au sol, des dizaines de poteries brutes, sur les tables en ferronnerie des statuettes, plus loin des étagères chargées de pots de fleur, de vases, de jarres. Les plantes multicolores et les lanternes marocaines donnent au lieu un air de riad. C’est ici que le duo façonne l’argile dans les règles de l’art. Le geste, le travail des mains, le modelage précis, la technique ancestrale est perpétuée pour rencontrer les formes d’aujourd’hui. Conquis, les propriétaires de l’Auberge du Paradis ont tout naturellement ouvert leur porte aux objets de Lola et Mathis.

Plus qu’une vitrine, les potiers de Saint Amour ont trouvé dans l’Auberge du Paradis un véritable lieu d’expression. Ici leur vaisselle d’argile rencontre sa fonction. Les assiettes, tasses, sous-tasses, compotiers, beurriers et coupelles à fruits accompagnent les petits déjeuners. Teinté de rouge, noir et beige, le service s’accorde parfaitement à l’esprit de la Maison. Table et art de la table, cuisine et poterie, à Saint Amour, les unions sonnent justes.

http://www.poteriedesaintamour.fr/


COUP DE PROJECTEUR SUR LA CARTE DU RESTAURANT


Les épices et leurs parfums ensoleillés, un goût d’ailleurs pour des saveurs étonnantes. Bienvenue à l’Auberge du Paradis, le chef Cyril Laugier vous propose un voyage culinaire à la découverte d’une cuisine inventive, gouteuse et audacieuse. Chaque mois, un menu unique surprend les papilles grâce à ses associations inédites. Zoom sur une carte à hautes saveurs ajoutées.

Un sorbet à l’aubergine et aux échalotes, un coulis givré de tomates vertes et puis ça et là du gingembre, du soja, du curry, du kashmiri massala, ou encore des pistaches, des baies roses et de la confiture d’épices. Il n’y a pas de doute, la cuisine du chef étoilé Cyril Laugier ouvre les portes d’un ailleurs gastronomique. Ici le voyage est dans l’assiette, destination Paradis. Né au Maroc, le chef a conservé de son pays d’origine la chaleur d’une cuisine généreuse et épicée. Fan du cumin, il l’associe par exemple au curcuma et au curry dans une sauce accompagnant un filet de rouget et son fumet à l’orange. Tout aussi accro aux légumes confits, il caramélise céleri et navets avec un peu de sucre et un filet d’eau pour un sucré salé ferme et fondant. Inventif, aventurier des saveurs et explorateur de goûts, Cyril mise sur les associations étonnantes et détonantes. Des fruits en entrée, des légumes en dessert, en bouche, effet wow garanti. Le sorbet à l’aubergine s’associe à une burrata démentiellement crémeuse, un crumble d’amande et des abricots au basilic pour une mise en bouche qui annonce tout de suite la couleur. Les saveurs se marient avec une infinie justesse et une insolente efficacité. En guise de plat, la pluma ibérique se prélasse dans une marinade de soja avant d’être snackée, puis s’accompagne de spaghettis de concombre au gingembre, pistache et roquette et d’un jus au poivre de Danaé. Feu d’artifice de parfums et explosion de goûts, les partisans d’une cuisine à toutes saveurs seront instantanément comblés.

A l’Auberge du Paradis, le menu unique renouvelé chaque mois est un tourbillon gastronomique teinté d’influences marocaines. Ici les épices subliment les plats et invitent à un voyage au cœur même du goût. Cyril Laugier pilote sa cuisine avec une audace rafraichissante pour des plats de haute voltige.


DESIGN INTERIEUR VINTAGE (Edition Place des Victoires)


A l’Auberge du Paradis, la décoration accroche le regard au premier coup d’œil. Ici rien n’est dû au hasard et le style se cache dans les détails. D’inspiration vintage, chaque pièce a été décorée avec goût et une certaine touche contemporaine pour un vrai cachet. L’ouvrage « Design intérieur vintage » reprend les codes appliqués à l’Auberge du Paradis. Synopsis.

Edité par la Maison Place des Victoires, « Design intérieur vintage » est un beau livre relié de près de 500 pages. Autant dire une vraie source d’inspiration ! A l’intérieur, tous les conseils pour intégrer avec style du mobilier industriel dans un intérieur chargé d’histoire et peuplé d’objets chinés en brocante. La définition même de la décoration de l’Auberge du Paradis ! Entre les murs rouges de l’établissement, se cachent de petites pépites de décoration. La visite guidée commence par les chambres. Fauteuils Napoléon III recouverts de sky brillant, cadres sans tableau, salles de bain ouvertes habillées de carreaux de métro parisien, transistor, paravents désuets et baignoires pattes de lion, voici quelques éléments qui plantent le décor. Ici le vintage rencontre le contemporain de plein fouet dans un look affirmé et résolument tendance. La visite se poursuit par le restaurant où là aussi le cachet saute aux yeux. Cuillères et fourchettes en suspension sous les lustres, chaises dépareillées, plateaux de service au décor animal en guise de tableaux, ça et là le couple Laugier a disséminé un brin de folie rendu incroyable tendance dans le décor gris mat de la salle de restaurant.

Dehors le béton lisse et épuré de la piscine se marie aux tables et chaises de jardin « Montmartre » de la marque Fermob. Un mobilier plein de volutes, non sans rappeler les squares parisiens d’antan, en plein contraste avec les lignes totalement sobres, voire industrielles du couloir de nage.

A l’Auberge du Paradis, le style se joue des contrastes. Lampes, tableaux, chaises en sky et autres objets insolites apportent un cachet vintage incroyablement tendance. Si le livre « Design intérieur vintage » donne des pistes, l’Auberge du Paradis a quant à elle bien trouvé sa voie en matière de décoration. Vos yeux s’en souviendront assurément !


LE BISTROT JOSÉPHINE, À TABLE !


« Joséphine, à table » ! Depuis le 21 mars, l’Auberge du Paradis propose une nouvelle table avec un nom qui annonce la couleur. Ici on mange sans chichi des plats de famille savoureusement popotés, des recettes de grand-mère amoureusement mijotées. Et pour donner encore plus de sens à la cuisine familiale, sachez, que Joséphine n’est autre que la fille des propriétaires, amoureux de Bashung et des moments à partager. Nous vous invitons ici à vous régaler autour de recettes souvenir.

Dans la lignée des bistrots des années 30, la décoration de « Joséphine, à table », mise sur le vintage chic avec un esthétisme délicieusement harmonieux. Partout l’œil s’attache à des détails et rencontre des éléments qui l’interpellent. Au sol des carreaux en mosaïque, à l’entrée ce beau meuble d’archive à tiroirs, l’incontournable zinc, ici une suspension de casseroles en cuivre, plus loin une ancienne balance de boucher, là des tabourets haut en métal et bois. Avec ses boites de conserve en guide de pot à couverts et ses anneaux pour suspendre la serviette sous la table, l’esprit de la cuisine de famille s’invite jusque dans les moindres détails.

Si l’on est immédiatement séduit par le cadre au style faussement désuet mais résolument chic, on vient surtout au bistrot pour ce qu’il y a dans les assiettes. Car c’est là que la magie opère réellement. Goûteux, mijotés, frais. Les plats du bistrot sont dans le vrai, l’authentique cuisine familiale et généreuse issue tout droit du carnet de recettes de nos grand-mères. On se régale du gâteau de foies de volailles, on sauce jusqu’à la dernière goutte les œufs en meurette, on se délecte de la terrine de campagne, ses cornichons croquants et son pain juste toasté. Le pâté en croute maison est une belle mise en bouche avant de satisfaire son appétit d’un poulet au vin jaune, ou d’une joue de porc au cidre. C’est bon, simplement bien exécuté, juste. Une bouchée et c’est le souvenir du repas du dimanche midi à la table familiale, le bruit des fourneaux, les odeurs qui s’échappent des faitouts et la tape sur la main du malheureux qui oserait y tremper le doigt. A la carte des vins, du régional uniquement avec des crus du Beaujolais et des nectars du Mâconnais. Avec des menus différents chaque jour, l’envie de revenir est quotidienne.

Pour encore plus de convivialité, le bistrot propose une fois par mois des soirées à thème (ex : tête de veau) mais aussi des soirées « les amis cuisinent » où un amoureux de bonne chère prend les commandes des fourneaux avec ses idées, envies et recettes pour offrir à tous un peu de lui. Pourquoi pas vous ? Au bistrot « Joséphine, à table », on partage de bons moments autour de plats souvenir comme si pendant un instant, le temps suspendait son vol.


LA TERRASSE, LE JARDIN, LA PISCINE


A l’Auberge du Paradis, la saison d’été a naturellement un petit goût d’Eden. Lézarder au soleil, l’odeur de la terre et des vignes pour seules compagnes, bronzer au bord de la piscine sous l’autorité silencieuse du ciel bleu, s’offrir un rafraichissement en terrasse. Pour se détendre, il n’y a que l’embarras du choix, le plus dur reste de le faire !

Des eaux limpides retenues par un habillage de béton lissé laissant apparaitre les marches d’un escalier immergé. La piscine de l’Auberge joue la carte de l’esthétisme moderne avec ses lignes sobres et épurées. Ce couloir de nage de 4 x 13m offre tout l’espace à quelques belles longueurs, mais est aussi le cadre idéal pour une séance de bronzage. Les transats inclinables et les gros coussins douillets ne sont rien d’autre qu’une invitation à la détente qu’elle prenne la forme d’une sieste ou d’une pause lecture. Ici la proximité immédiate des vignes donne l’impression que le temps s’égraine avec une lenteur bienveillante. Tout autour du bassin, les bacs et pots débordent de fleurs et plantes qui profitent elles aussi des bienfaits du soleil. Cette touche végétale offre une belle transition avec le jardin attenant. Sur son gazon verdoyant, à l’ombre des haies vous êtes invités à siroter une boisson fraiche pendant que le temps passe sans crier gare. De jour comme de nuit, à la lumière de soleil, de la lune ou des grosses lampes d’extérieur, paresser est une occupation de chaque instant.

A la terrasse du bistrot, les tables rouges et les chaises aux volutes généreuses vous attentent pour un verre, une belle part de tarte ou une planche à partager à la faveur de la nuit tombée. Dans l’esprit des squares d’antan et kiosques à musique au romantisme suranné, la terrasse est cette parenthèse enchanteresse qui rappelle l’esprit de l’Auberge du Paradis. Ça et là d’indispensables touches contemporaines ancrent les lieux dans leur époque. Ici, au plein cœur de l’été, le bonheur se prolonge en extérieur.


DES NOUVELLES CHAMBRES A L'AUBERGE


Elles s’appellent Judith, Jeanne, Camille, Alphonse, du deuxième prénom des enfants de Cyril et Valérie Laugier. Les quatre nouvelles chambres de l’Auberge du Paradis proposent de beaux volumes et d’autres ambiances. Voyage immersif au cœur d’une belle Maison de famille.

Il y a d’abord Judith, la familiale. Cette chambre conçue pour deux adultes et deux enfants est la plus spacieuse et donne directement sur la place du village. Ses espaces sont nettement séparés pour offrir à petits et grands l’intimité nécessaire. Dans ses 50m², Judith abrite une douche et une baignoire pour un maximum de confort. Décorée dans les tons mastic et blanc, elle arbore de jolis fauteuil bridge ou Napoléon III, tous repassés entre les mains expertes d’un tapissier pour les habiller de tissus contemporains.

Jeanne, Camille et Alphonse offrent quant à elles une belle vue sur le jardin et les extérieurs. Petite terrasse pour Jeanne avec regard discret sur la piscine. Habillée dans les teintes écru et noir, Jeanne propose à ses hôtes de se prélasser dans ses rocking chair, un livre à la main ou une musique envoutante dans les oreilles. L’espace de bain est entièrement ouvert sur la chambre et ses carreaux blancs similaires à ceux des métros parisiens en délimitent l’espace. Les tons sont mastic, blanc et noir pour Camille et Alphonse. Si l’on trouve une petite terrasse pour Camille, les deux chambres offrent une vue reposante sur le jardin clos et la piscine. Des salles de bains ouvertes, toujours, des fauteuils des années 30 remis au goût du jour pour un classicisme résolument moderne. Pour toutes, écran plat et connexion wifi bien entendu.

Avec ces 4 nouvelles chambres, l’Auberge du Paradis agrandit sa capacité d’accueil et propose de nouveaux espaces dans un style affirmé mais cohérent. Ces lieux racontent une histoire, celle de l’Auberge bien sûr mais aussi celle de ses propriétaires, leurs envies de faire de ce lieu un endroit à leur image avec la famille en fil rouge. Judith, Jeanne, Camille, Alphonse, quatre prénoms qui ancrent l’Auberge un peu plus dans l’esprit d’une très belle Maison de famille.


LA CHEF DU BISTROT JOSÉPHINE, À TABLE !


Aux cuisines du bistrot « Joséphine, à table », Il y a Stéphanie Comdemine. Chef des fourneaux, elle possède un solide carnet de recettes de famille, de celles transmises de génération en génération. Sa grand-mère lui a laissée le goût des bons produits et l’amour des cuisines mitonnées et généreuses. Zoom sur une femme passionnée, habitée par le bien-manger et le partage.

De Besançon, sa ville natale, Stéphanie a ramené quelques belles recettes qui sont aujourd’hui à la carte du bistrot. Son poulet au vin jaune et sa sauce divinement crémeuse lui valent les compliments appuyés de la clientèle, à tel point qu’il est devenu un incontournable. Cette femme à la bonne humeur contagieuse est une travailleuse acharnée et fonceuse que rien ne saurait arrêter. Formée sur le tard et guidée par une passion indicible pour la cuisine, Stéphanie a fait ses armes à l’Auberge du Paradis, en charge de la mise en place aux côtés du chef étoilé Cyril Laugier. Elle a appris la rigueur du travail, mais surtout le goût du partage, le rôle nourricier du cuisinier, cette envie de raviver des souvenirs culinaires et de faire pétiller les papilles. Après 8 ans aux côtés du Chef, prête à voler de ses propres ailes, elle accepte la place de chef du bistrot « Joséphine, à table » que lui propose le couple Laugier. Une belle marque de confiance et de reconnaissance mais surtout un nouveau challenge pour cette femme déterminée. Toujours prête à se relever les manches, le bistrot offre aujourd’hui à Stéphanie un joli territoire d’expression.

Dans sa cuisine, entourée de son commis, elle découpe, hache, fait revenir, cuit et mitonne. Ses plats rendent un bel hommage à la cuisine de famille, généreux et goûteuse. Attachée aux bonnes choses, Stéphanie sait que les bons produits font les bons plats. Elle les choisit avec toute la bienveillance d’une mère qui s’apprête à cuisiner pour les siens. Ses œufs en meurette sont un délicieux retour en enfance, du temps où les grand-mères s’affairaient aux fourneaux. Passionnée jusqu’à la moelle, Stéphanie partage avec tous sa flamme et saupoudre ses plats d’une généreuse pincée d’amour. Vous en reprendrez bien un peu ?!


Photographie de l'Auberge du Paradis